Modèles pratiques qui influencent la PNL

Comme je l’ai écrit précédemment, la PNL est riche des apports théoriques ET pratiques. Pour ces derniers (toujours dans l’ordre chronologique de naissance) voyons les praticiens qui ont été observés puis modélisés.

Ceux qui ont, littéralement, inspirés les fondateurs de la PNL. Et qui pratiquaient des disciplines très différentes…

 

PNL : modèles pratiques. Schéma par Richard Martens

PNL : les modèles pratiques. Schéma par ©Richard Martens

 

Fritz PERLS1 (1893-1970)

Fritz PERLS, psychiatre & psychothérapeute, créa, vers 1935, la gestalt-thérapie.

L’un des principes de la théorie de la gestalt-thérapie est que notre inconscient comporte des parties de personnalité. Principe qu’on retrouve, sous une forme très proche, dans les principes de l’Analyse transactionnelle. Ce principe n’est pas nouveau… Ce qui me semble nouveau, c’est l’objectif. Schématiquement, le but de la gestalt-thérapie est de générer un tout, un ensemble, une “fusion” à partir des parties de la personnalité.

Il semble que Fritz PERLS, & ses travaux, aient fortement influencé Richard BANDLER, l’un des co-fondateurs de la PNL

 

Milton H. ERICKSON2 (1901-1980)

Milton H. ERICKSON, vers 1925, commence de développer une forme nouvelle & originale d’hypnose, basée sur la coopération entre l’hypnotiseur & le sujet. Et pour lui, il estime essentiel d’adapter l’hypnose en fonction de l’individu. Cette forme d’hypnose est parfois appelée “communication indirecte” ou “communication ericksonienne”.

Milton H. Erickson est probablement celui qui a le plus influencé les courants modernes de thérapie, de développement personnel & de “coaching”. Pour citer ces courants, il y a :

  • l’hypnose ericksonienne ;
  • l’École de Palo Alto ;
  • la Programmation NeuroLinguistique (PNL) ;
  • la thérapie par la ligne du temps ;
  • la thérapie par les contes (…& les métaphores)…

Gregory BATESON & Margaret MEAD le consultèrent pour leurs travaux… La cybernétique fut fortement influencée par lui… Atteint de poliomyélite pour la seconde fois à 51 ans, il pratiqua beaucoup l’auto-hypnose face à la douleur.

Et il rencontrera certains des fondateurs de l’École de Palo Alto (Jay HALEY, John WEAKLAND, Donald D. JACKSON) et de la PNL (Richard BANDLER, John GRINDER, Robert DILTS)

 

Moshe FELDENKRAIS3 (1904-1984)

Moshe FELDENKRAIS étudia la physique, les mathématiques, la mécanique & l’électricité. Puis le judo, auprès du créateur, Jigoro KANO…

Pour des raisons personnelles de santé, il étudie ensuite divers savoirs, liés à la santé & au bien-être, voire au mieux-être : l’anatomie, l’hypnose, l’acupuncture, etc. Et fort de tout cela, il développa, d’abord pour lui, une méthode personnelle de rééducation, basée sur la prise de conscience liée au mouvement…

 

Virginia SATIR4 (1916-1988)

Virginia SATIR fut une excellente pratiquante de la thérapie familiale. Et co-fondatrice de l’École de Palo Alto.

Elle est l’une des trois figures principales, avec Milton H. ERICKSON & Fritz PERLS, dont la pratique a été modélisée par BANDLER & GRINDER (PNL).

 

Frank FARRELLY (1931-2013)

Frank FARRELLY, l’un des nombreux dissidents de la psychanalyse, créa la “thérapie provocatrice”. Laquelle est basée sur l’acceptation inconditionnelle de l’univers du patient. En “poussant à l’extrême” les principes sous-jacents. Ce qui, en général, déclenche l’hilarité du patient, à tout le moins une prise de conscience d’un mode de pensée & une façon d’agir “limitante”, voire “dépassée”…

 

Voici donc, là encore brièvement, les sources d’inspirations pratiques principales de la PNL. Donc les praticiens modélisés par les fondateurs de la PNL.

Richard Martens

Texte version 1.1


 Notes

Articles de Wikipédia (France) :

  1. Fritz PERLS (1893-1970)
  2. Milton H. ERICKSON (1901-1980)
  3. Moshe FELDENKRAIS (1904-1984)
  4. Virginia SATIR (1916-1988)

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Etat du moi Parent

Etat du moi Enfant. Schéma de Richard Martens

Etat du moi Enfant. Schéma de Richard Martens

Voici la suite des États du moi : l’État du moi Parent. Et d’abord un très bref rappel des États du moi Enfant…

Rappel des État du moi Enfant

Nous avons vu, que nous développions d’abord une personnalité Enfant. Avec des nuances :

  • Enfant Spontané (ou Enfant Libre), qui exprime des émotions fortes (joie, colère, peur…)
  • Enfant Adapté (à la société), soit Soumis, soit Rebelle
  • Petit Professeur (pour la partie créative en nous)…

Continuons d’entrer dans les subtilités des comportements observables à tout âge, & ceci dès l’enfance & aussi chez l’adulte. Ce deuxième des États du Moi est :

L’état du moi Parent

AT - Analyse structural de 2e Ordre - Etat Parent - Schéma de R. Martens

AT – Etat Parent – Schéma de R. Martens

Quand l’enfant commence à “ouvrir” les yeux sur le monde – le monde qui l’entoure, c’est-à-dire ses parents –, il observe ses parents &, comme une éponge, l’enfant “absorbe” les comportements des parents. Il développe donc des “bandes parentales”, un peu comme des enregistrements vidéo. Ainsi, il va pouvoir reproduire les attitudes, les comportements des figures parentales observées : mère, père, oncle, tante, grands-parents, grand frère ou grande soeur, etc.

Tout cela s’appelle “modéliser”. Et cela se fait de façon inconsciente, bien évidemment !

Et deux Parents vont apparaître :

  • Parent Nourricier. Ce qui correspond à un Parent qui aide, qui soutient… Trop, car c’est un Parent qui fait à la place de l’enfant, un Parent qui couve trop ;
  • Parent Critique ou Parent Censeur (selon les auteurs). Ce qui correspond à un Parent qui pose des règles souvent trop dures à observer ou injustes.

Ces deux Parents correspondent à des comportements négatifs, voire excessifs.

Le prochain État du moi décrit sera l’État du moi Adulte.

Richard Martens

Texte version 1.0


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Modèles théoriques qui influencent la PNL

Ce qui fait la richesse de la PNL, c’est qu’il y a beaucoup d’apports théoriques & pratiques. Et des esprits créatifs qui ont, ensuite, créé des « outils » pratiques. Voyons brièvement, dans cet article, les apports théoriques, dans l’ordre chronologique de naissance de leurs créateurs. Ceux qui ont inspirés les fondateurs de la PNL.

 

PNL : modèles théoriques, schéma par Richard Martens

PNL : modèles théoriques, schéma par Richard Martens

 

Sémantique générale d’A. Korsybski1 (1879-1950)

Alfred Korzybski a publié ses premiers ouvrages en 1921 & 1924.

Son oeuvre a influencé beaucoup de personnes, dont l’auteur de science-fiction Alfred E. Van Vogt (« Le Monde des A » & sa suite), ainsi que les Français, le philosophe Gaston Bachelard, le biologiste Henri Laborit, les écrivains Boris Vian, Michel Houellebecq…

En psychologie, il a eu une influence sur la Gestalt (de Fritz Perls) & sur la PNL (cf. le métamodèle).

 

Cybernétique2 de N. Wiener3 (1894-1964)

La cybernétique, de Norbert Wiener concerne les relations, la communication, entre deux ou plusieurs éléments. Et concerne donc le principe des systèmes, de la communication & de l’information. Et est à l’origine de l’École de Palo Alto.

 

Epistémologie de G. Bateson4 (1904-1980)

Influencé, entre autres, par la cybernétique, Gregory Bateson est l’auteur du livre « Vers une écologie de l’esprit ». Et il est, lui aussi, à l’origine de l’École de Palo Alto.

Ce serait lui qui aurait conseillé au « jeunes » de l’École de Palo Alto d’aller voir travailler Milton H. Erickson, créateur de l’Hypnose ericksonienne, avec qui il avait déjà travaillé…

 

Grammaire transformationnelle de N. Chomsky5 (1928-    )

Fondateur de la linguistique générative, Noam Chomsky a développé la théorie de la grammaire générative & transformationnelle vers 1950.

IL a eut une grande influence sur l’un des co-fondateur de la PNL : John Grinder. Lequel a développé le métamodèle en PNL…

 

Analyse systémique6, de l’Ecole de Palo Alto7

Mouvement né à Palo Alto vers 1950, sous l’influence de Gregory Bateson (lui-même influencé par Milton H. Erickson) & Donald D. Jackson. Il y aura aussi Paul Watzlawick, John Weakland, Jay Haley, Richard Fisch, William Fry…

Y participeront aussi Ray Birdwhistell, Edward T. Hall, Erwin Goffman, Margaret Mead…

Influencés par la cybernétique, ces chercheurs seront à l’origine de travaux sur la schizophrénie, puis à la création de la thérapie familiale, avec Virginia Satir.

 

Voici donc, très brièvement les sources d’inspirations théoriques principales de la PNL.

Nous verrons prochainement les sources d’inspiration pratiques, c’est-à-dire les personnes modélisées par la PNL.

Richard Martens

Texte version 1.3


 Notes

Articles de Wikipédia (France) :

  1. Alfred Korzybski (1879-1950)
  2. Cybernétique
  3. Norbert Wiener (1894-1964)
  4. Gregory Bateson (1904-1980)
  5. Noam Chomsky (1928-    )
  6. Analyse systémique
  7. Ecole de Palo Alto

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L’Enfant

Revenons à notre sujet : toujours pour les États du moi, voici la deuxième partie de la première étape, nommée Analyse structurale de second ordre. Il s’agit d’entrer dans les nuances des comportements observables. Nous pouvons dès maintenant commencer à l’observer chez soi & chez les autres quel que soit notre âge. Pour cela, revenons plus en détail sur le premier des États du Moi…

L’état du moi Enfant

AT_Schema de l'Analyse Structurale de 2e Ordre : Enfant

AT – Analyse Structurale de 2e Ordre : les états du moi Enfant – Schéma de Richard Martens

Nous l’avons vu, tout d’abord, nous développons une personnalité Enfant. Et des nuances commencent d’apparaître : un Enfant Spontané (Enfant Libre chez certains auteurs), qui sourit, pleure, crie… Quand un adulte exprime ce type d’émotion, c’est qu’il est dans son état d’Enfant Libre (EL ou ES sur le schéma ci-contre). Puis, avec l’éducation, apparaît, petit à petit un Enfant Adapté. Ce dernier peut être : – soit soumis (il se conforme aux demandes familiales, sociales), c’est l’Enfant Adapté Soumis (ES sur le schéma) ; – soit rebelle (il s’oppose en “négatif” aux attentes familiales &  sociales), c’est l’Enfant Adapté Rebelle (ER sur le schéma).  Le risque, avec l’enfant, c’est qu’il croit comprendre ce que ses parents attendent de lui. Or, chacun de nous interprète… C’est humain. Et nous pouvons donc développer un comportement adapté trop soumis ou trop rebelle !

Enfant Rebelle & Enfant Spontané

Nommé parfois, selon les auteurs (&/ou les traducteurs), Enfant Rebelle, car l’enfant se rebelle. Mais il le fait par rapport à une demande, donc “adapté” vis-à-vis de celle-ci. Sa réaction est donc très souvent, “non-spontanée” & directement opposée, donc le contraire, le “négatif” de la demande. Alors que l’Enfant Spontané ou Enfant Libre est en action, réagit par rapport à lui-même, à ses ressentis & à ses émotions (joie, peur, douleur, etc.) liées à son physique, ou au monde environnant. En cela l’Enfant Rebelle est beaucoup plus prévisible que l’Enfant Libre. Dans cet état, l’enfant (et beaucoup plus tard l’adulte) est en réaction à l’environnement, et fonctionne beaucoup sur le défi. C’est le fameux “NON !” voire le “Na !” que nous connaissons tous. Voire le “Même pas cap’ !” ou bien le “Même pas mal !”. Dès qu’une demande est perçue par lui comme une directive, voire comme un ordre, cela déclenche chez lui une réaction contraire à la demande. De même en le mettant au défi. Lui retourner le “Même pas cap’ !” A condition que cela soit un défi subtil, bien sûr !

Enfant Soumis

À l’inverse, chez l’Enfant Adapté Soumis, (aussi nommé en raccourci Enfant Soumis), le comportement sera d’obéir, d’accepter. Voire d’être “couleur de muraille”, se faire tellement discret qu’il pourra en être “invisible”. Même quand il sera adulte. Il n’osera pas & doutera constamment de lui & de ses capacités…

Petit Professeur ou l’Enfant Créatif

Enfin, les premiers concepteurs de l’AT ont parlé du Petit Professeur (PP sur le schéma), qui, selon eux, serait la partie créative en nous… Nous verrons que les conceptions plus récentes offrent des variantes à cela…

Richard Martens

Texte version 2.1


Notes

Je remet ce texte car il a mystérieusement disparu !!!    R.M.
Tout d’abord, une indication typographique pour ce texte :
  • pour l’usage des guillemets1, j’utiliserai les guillemets à l’Américaine : “exemple”, compte tenu du fait que nous sommes sur internet, via le (X)HTLM (5), & selon les navigateurs (Internet Exploreur, Firefox, Safari, Opéra, etc.), les guillemets à la Française (« comme ceci »), en forme de chevrons simples &/ou doubles sont difficiles à utiliser en respectant le Code typographique, car associés à une espace1 insécable2. Aussi ai-je opté pour les “guillemets à l’Américaine”, en forme de virgules hautes simples &/ou doubles, qui eux “collent” au(x) mot(s). Ainsi, il est impossible d’avoir un guillemet fermant, seul en début de ligne ! Ce qui est une faute typographique.
  •  Concernant les navigateurs : j’ai cité les plus connus, ci-dessus. Cependant, j’en ai dénombré onze ! Et ils ne “traduisent” pas tous la mise en page & les signes typographiques de la même manière ! Sans parler du codage du texte : HTML & ses variantes, ou XHTML, ou HTML 5… Sans oublier le CSS3… D’ou ce choix des guillemets à l’Américaine.
  • Je prends le temps de mettre les définitions de certains mots car je sais qu’un certain nombre de mes élèves ou anciens élèves, lisent ma prose. D’où ces notes typographiques, ou autres… Puisque j’ai enseigné la typographie & ses règles, entre autres matières…
***********
  1. Espace : (nom féminin, de espace “tige de plomb pour espacer les mots”, en typogr. ) Blanc qui sépare deux mots. Dictionnaire Dixel, Robert Mobile. — Espace : (nom féminin) blanc servant à séparer deux mots, deux caractères. – Dictionnaire Hachette.
  2. Insécable : (adjectif) qui ne peut être coupé, divisé. Mot insécable. Dictionnaire Dixel, Robert Mobile. — Insécable : (adjectif) qui ne peut être coupé, divisé. En typographie, une espace insécable entre deux mots empêche leur séparation en fin de ligne. Dictionnaire Antidote.
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Verbal, para-verbal, non-verbal

L’une des premières choses qu’on apprend, en PNL, est que le pouvoir du verbe est tout à la fois très important & très relatif.

Très important, car les mots peuvent avoir un impact très fort. Pensons au slogan de la presse : “Le poids des mots, le choc des photos” ! Le pouvoir des mots est très grand dans la pratique de l’hypnose ericksonienne, par exemple. Nous y reviendrons…

Très relatif, car les mots, dans la communication, sont, parfois, moins importants que les gestes & le non-verbal. Explications ci-après… 

Tout d’abord, l’AT1 et la PNL2, nous apprennent qu’il y a trois catégories dans la communication : le verbal (les mots employés), le para-verbal (ton, volume, timbre, etc. de la voix) & le non-verbal (positions corporelles, gestes, etc.) Une étude Américaine nous donne quelques informations chiffrées sur l’importance de chacune de ces catégories.

Verbal, para-verbal et non-verbal

Communication verbale, para-verbale et non-verbale : pourcentages

 

Le verbal

Le contenu verbal, soit le sens littéral des mots employés, représente, selon cette étude, seulement 7 % de l’information reçue ! Peut-être que ceci explique pourquoi certains numéros de magiciens sont des numéros muets. David Copperfield, par exemple, présente des grandes illusions qui ont un très grand impact sur le public.

 

Le para-verbal

Ensuite la deuxième grande source d’information vient du para-verbal, c’est-à-dire du rythme de la parole, de sa force, de sa rapidité, du timbre de notre voix, de sa mélodie… Soit 38 % du message reçu… Il nous suffit, pour en prendre conscience, d’imaginer que nous récitions un texte quelconque à notre chien, par exemple. Ceci en variant le ton… Gentil doux, lent : le chien va battre de la queue, et sembler “content”… Avec le ton fort, rapide, plus “brutal”, ce même chien aura “la queue entre les jambes” et semblera peut-être craintif, voire apeuré ? Contentons-nous d’imaginer la situation, car selon le chien & son “éducation”, le résultat peut varier. Cependant, la voix (et non les mots employés) va générer un état agréable ou désagréable chez notre interlocuteur, quel qu’il soit. Imaginez-vous, face à un enfant, à votre partenaire, à un(e) collègue ?

 

Le non-verbal

Les chiffres nous apprennent (voir le schéma) que, lors d’un échange, la majorité de l’information reçue – 55 % ! – provient de ce qu’on nomme le non-verbal, c’est-à-dire la respiration, les positions du corps & de la tête, les gestes et les “micro-gestes”, c’est-à-dire le changement de couleur de certaines parties du visage, le changement de forme de la bouche, des yeux, des narines, etc.

 

En conclusion…

Cela signifie que ce que nous retenons d’un échange ordinaire est essentiellement lié à la voix (le para-verbal) & au non-verbal : 93 % de l’information captée ! Cette étude nous apprend donc deux choses, à savoir qu’il est essentiel pour bien communiquer :

1. – de tenir compte du para-verbal ET du non-verbal dans le “message” que nous voulons transmettre ;

2. – de tenir compte des mots employés pour renforcer l’efficacité des 7 %. Voire pour dépasser ce pourcentage ? Ce qui implique des mots “précis”, adaptés au message envoyé. Ce qui est très important dans la pratique de la communication, dans certains univers comme la publicité, la presse, la politique…

L’Analyse Transactionnelle, elle aussi, tient compte de ces trois catégories. C’est même un point très important dans les Jeux, que j’expliciterais bientôt…

Richard Martens

Texte version 1.3


Notes

  1. AT : Analyse transactionnelle.
  2. PNL : Programmation Neuro-Linguistique.

 

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Etats du moi Enfant

Revenons à notre sujet : toujours pour les États du moi, voici la deuxième partie de la première étape, nommée Analyse structurale de second ordre. Il s’agit d’entrer dans les nuances des comportements observables. Nous pouvons dès maintenant commencer à l’observer chez soi & chez les autres quel que soit notre âge. Pour cela, revenons plus en détail sur le premier des États du Moi…

L’état du moi Enfant

Nous l’avons vu, tout d’abord, nous développons une personnalité Enfant. Et des nuances commencent d’apparaître : un Enfant Spontané (Enfant Libre chez certains auteurs), qui sourit, pleure, crie… Quand un adulte exprime ce type d’émotion, c’est qu’il est dans son état d’Enfant Libre (EL ou ES sur le schéma ci-contre). Puis, avec l’éducation, apparaît, petit à petit un Enfant Adapté. Ce dernier peut être : – soit soumis (il se conforme aux demandes familiales, sociales), c’est l’Enfant Adapté Soumis (ES sur le schéma) ; – soit rebelle (il s’oppose en “négatif” aux attentes familiales &  sociales), c’est l’Enfant Adapté Rebelle (ER sur le schéma).  Le risque, avec l’enfant, c’est qu’il croit comprendre ce que ses parents attendent de lui. Or, chacun de nous interprète… C’est humain. Et nous pouvons donc développer un comportement adapté trop soumis ou trop rebelle !

Enfant Rebelle & Enfant Spontané

Nommé parfois, selon les auteurs (&/ou les traducteurs), Enfant Rebelle, car l’enfant se rebelle. Mais il le fait par rapport à une demande, donc “adapté” vis-à-vis de celle-ci. Sa réaction est donc très souvent, “non-spontanée” & directement opposée, donc le contraire, le “négatif” de la demande. Alors que l’Enfant Spontané ou Enfant Libre est en action, réagit par rapport à lui-même, à ses ressentis & à ses émotions (joie, peur, douleur, etc.) liées à son physique, ou au monde environnant. En cela l’Enfant Rebelle est beaucoup plus prévisible que l’Enfant Libre. Dans cet état, l’enfant (et beaucoup plus tard l’adulte) est en réaction à l’environnement, et fonctionne beaucoup sur le défi. C’est le fameux “NON !” voire le “Na !” que nous connaissons tous. Voire le “Même pas cap’ !” ou bien le “Même pas mal !”. Dès qu’une demande est perçue par lui comme une directive, voire comme un ordre, cela déclenche chez lui une réaction contraire à la demande. De même en le mettant au défi. Lui retourner le “Même pas cap’ !” A condition que cela soit un défi subtil, bien sûr !

Enfant Soumis

À l’inverse, chez l’Enfant Adapté Soumis, (aussi nommé en raccourci Enfant Soumis), le comportement sera d’obéir, d’accepter. Voire d’être “couleur de muraille”, se faire tellement discret qu’il pourra en être “invisible”. Même quand il sera adulte. Il n’osera pas & doutera constamment de lui & de ses capacités…

Petit Professeur ou l’Enfant Créatif

Enfin, les premiers concepteurs de l’AT ont parlé du Petit Professeur (PP sur le schéma), qui, selon eux, serait la partie créative en nous… Nous verrons que les conceptions plus récentes offrent des variantes à cela…

Richard Martens

Texte version 1.3


Notes

Je remet ce texte car il a mystérieusement disparu !!!    R.M. Tout d’abord, une indication typographique pour ce texte :

  • pour l’usage des guillemets1, j’utiliserai les guillemets à l’Américaine : “exemple”, compte tenu du fait que nous sommes sur internet, via le (X)HTLM (5), & selon les navigateurs (Internet Exploreur, Firefox, Safari, Opéra, etc.), les guillemets à la Française (« comme ceci »), en forme de chevrons simples &/ou doubles sont difficiles à utiliser en respectant le Code typographique, car associés à une espace1 insécable2. Aussi ai-je opté pour les “guillemets à l’Américaine”, en forme de virgules hautes simples &/ou doubles, qui eux “collent” au(x) mot(s). Ainsi, il est impossible d’avoir un guillemet fermant, seul en début de ligne ! Ce qui est une faute typographique.
  •  Concernant les navigateurs : j’ai cité les plus connus, ci-dessus. Cependant, j’en ai dénombré onze ! Et ils ne “traduisent” pas tous la mise en page & les signes typographiques de la même manière ! Sans parler du codage du texte : HTML & ses variantes, ou XHTML, ou HTML 5… Sans oublier le CSS3… D’ou ce choix des guillemets à l’Américaine.
  • Je prends le temps de mettre les définitions de certains mots car je sais qu’un certain nombre de mes élèves ou anciens élèves, lisent ma prose. D’où ces notes typographiques, ou autres… Puisque j’ai enseigné la typographie & ses règles, entre autres matières…

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  1. Espace : (nom féminin, de espace “tige de plomb pour espacer les mots”, en typogr. ) Blanc qui sépare deux mots. Dictionnaire Dixel, Robert Mobile. — Espace : (nom féminin) blanc servant à séparer deux mots, deux caractères. – Dictionnaire Hachette.
  2. Insécable : (adjectif) qui ne peut être coupé, divisé. Mot insécable. Dictionnaire Dixel, Robert Mobile. — Insécable : (adjectif) qui ne peut être coupé, divisé. En typographie, une espace insécable entre deux mots empêche leur séparation en fin de ligne. Dictionnaire Antidote.
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Etats du moi 1re partie : definition

AT_AnalyseStructuraleDu1erOrdre_PAE

AT : schéma d’analyse structurale du 1er ordre, PAE

Nous avons vu précédemment qu’il y a quatre domaines d’exploration & d’analyse en AT. Et pour pouvoir analyser ces domaines, voire les changer, il importe d’abord de les connaitre. Voici, donc le premier : Les États du moi. Première étape, nommée Analyse structurale.

En Analyse Transactionnelle, dès les années soixante, on considère qu’il y a, chez chaque individu, trois états, dans lesquels nous pouvons être à divers moment de la journée. Ces trois états sont, dans l’ordre de “construction” de notre personnalité : l’Enfant, le Parent & l’Adulte.

L’état du moi Enfant

Tout d’abord, nous développons, logiquement, une personnalité Enfant. L’état du moi Enfant1. Une personnalité spontanée qui fait que le bébé va rire, pleurer, etc. En somme il s’agit d’un Enfant Spontané ou Enfant Libre, qui réagit par rapport à lui-même, à ses ressentis & à ses émotions (joie, peur, douleur, etc.) liées à son physique, ou au monde environnant.

Et des nuances commencent d’apparaître : un Enfant Spontané, qui sourit, rit, pleure, crie & un Enfant Adapté. Adapté par rapport à la société, bien évidemment…

L’état du moi Parent

Cet état se développe chez nous par la façon d’apprendre la plus simple et la plus efficace : la modélisation des parents, et des figures d’autorité qui nous entourent, quand nous étions enfant : aîné(e), tante, oncle, cousin(e), etc.

 L’état du moi Adulte

Même si graphiquement cet état est placé entre les deux précédents, c’est celui qui se développe en dernier. Et parfois tellement lentement qu’on pourrait, parfois, dire que certains ne sont toujours pas adulte, même s’ils sont majeurs. 

Nous verrons d’ailleurs que cet état Adulte peut être “pollué”, “contaminé” par l’Enfant (les illusions) ou le Parent (les préjugés).

Richard Martens

Texte version 1.3


Caractère “É”1 Dans la langue Française, la règle est de mettre les accents sur les majuscules. Certains me rétorquerons que non. Si la réponse était juste, pour quelle raison des graphistes, concepteurs de typographies internationales « s’embêteraient à les « fabriquer » ? Si vous avez le moindre doute, je vous renvoie au « Code typographique en usage à l’imprimerie nationale », entre autres codes typographiques… Et je mets les majuscules accentuées juste après cela, afin de vous montrer que ces lettres existent & sont accessibles via les « Caractères spéciaux ». Les voici : ÀÂ, ÉÈÊ, Î, Ô, ÙÛ… Et, pour mon premier article, j’ai aussi placé une photo d’un « É », que je remets ci-contre.

Alors, me direz-vous, pourquoi en parler pour ne pas le faire avec ce titre ? Tout simplement, parce que, si ce texte était imprimé (donc sur papier), je le ferais. Or, ici, nous sommes sur internet, avec trois “systèmes” planétaires : Windows (PC), Mac & Linux. Et avec quelques « incompatibilités » dans les polices de caractères, entre ces systèmes. Aussi, sur internet, certains signes (dont les lettres majuscules) disparaissent ou sont remplacées par des résultats bizarres. Aussi, pour éviter cela, je m’abstiens dans les titres… Je vais parfois aller jusqu’à supprimer les accents en minuscule, s’il s’agit de mots-clés.

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Qu’est-ce que l’Analyse transactionnelle ?

Je vous propose de commencer d’étudier d’abord l’Analyse transactionnelle, souvent désignée par l’abréviation (le sigle) A.T. Voire simplement AT1, en ôtant les points.

Ceci en alternance avec la PNL1, ou d’autres approches psychologiques, voire sociologiques…

En quoi consiste l’AT ?

C’est tout à la fois un mode de vie & un « outil » de changement. Elle permet de comprendre, par le biais de l’auto-analyse & de l’analyse des rapports humains, de pouvoir changer. Elle permet aussi, par la théorie & la pratique, de décoder les comportements des personnes physiques aussi bien que morale (comme on dit en droit). Pour le dire plus simplement, comprendre les personnes physiques, les individus, ET les groupes humains (les personnes morales), c’est-à-dire les associations, les sociétés, et même les états !

Ce qui est intéressant dans l’AT, c’est que c’est applicable de façon variée, vis-à-vis des personnes, des couples & des groupes… Dans un cadre individuel, associatif, professionnel, cela peut :

– être une thérapie ;

– se faire dans le cadre d’un stage de développement personnel ;

– se pratiquer comme consultant, dans une entreprise ;

– s’enseigner parfois dans le cadre de BTS en Communication visuelle, afin de concevoir ou d’analyser des publicités ;

– être enseigné dans l’apprentissage des relations humaines, en formation permanente…

 

Quatre domaines d’analyse de l’AT

AT : 4 domaines d'analyse par R. Martens

Analyse Transactionnelle : quatre domaines d’analyse par R. Martens

Nous pouvons considérer qu’il y a quatre domaines d’exploration & d’analyse de l’AT :

  1. – L’analyse des États du moi ;
  2. – L’analyse des transactions ;
  3. – L’analyse des Jeux ;
  4. – L’analyse des Scénarios.

 

1. – Analyse des États du moi

Ce domaine concerne l’individu en particulier. Et c’est la base de l’AT.

 

2. – Analyse des transactions

Cela concerne les échanges entre deux personnes.

 

3. – Analyse des Jeux

Ici, il s’agit d’observer & de décoder ce qu’on nomme les Jeux. Presque toujours des rapports désagréables, que Claude Steiner appelle des « froids-piquants ».

 

4. – Analyse des Scénarios

Enfin, cela consiste à étudier les schémas de vie, les scénarios – en général de l’auto-sabotage – que nous menons de façon inconsciente, souvent jusqu’à notre mort. D’où l’intérêt d’en changer !

 

Voilà ce que je vous propose de découvrir – si vous ne connaissez pas –, en alternance avec de la PNL, du PCM, et autres approches psychologiques. Toujours dans un but de mieux-être… Car, comme le dit Mme Jane Turner, l’une de mes formatrices :

– « Pourquoi attendre d’aller mal pour aller mieux ! »

 

Richard Martens

Texte version 1.2


  1.  C’est une pratique typographique courant, que de supprimer les points d’un sigle, quand ce dernier est entré dans le langage courant, comme PAO, SNCF, RATP, IBM, etc. C’est aussi le cas des acronymes (des sigles qui se prononcent sans avoir à épeler chaque lettre), qui eux, ne gardent que l’initiale en lettre capitale. Le reste de l’acronyme étant en minuscules, ou bas-de-casse. Exemples : Onu, Fnac, etc. Et certains acronymes sont même devenu des noms communs, comme : radar ou laser, par exemple.

Lien vers Wikipedia pour l’article “Radar”

Lien vers Wikipedia pour l’article “Laser”

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Noms avec majuscules. Pourquoi ?

Caractère typographique “E accent aigu” en capitale

Caractère typographique “É”

Pour aujourd’hui, un article très bref. Indirectement lié à la typographie, et qui explique pour quelle raison, il y a beaucoup de majuscules en psychologie. Surtout en Analyse transactionnelle, en PCM1 & en PNL2.

En effet, en Analyse transactionnelle, en PCM1 en PNL2, et dans certaines disciplines, d’origine Américaine, les noms communs sont souvent écrit avec des initiales en capitale, c’est-à-dire, une majuscule (ou capitale) pour l’initiale, c’est-à-dire la première lettre d’un mot. Vous observerez, en passant, que contrairement à une (mauvaise) légende urbaine, les lettres accentuées, gardent, en majuscules, leur accent. L’illustration photographique, d’un caractère typographique ci-contre, un « É », en est un exemple. J’y reviendrais dans un prochain article…

 

Des Initiales en capitale pour quelle raison ?

Il semble qu’Eric Berne, le père de l’Analyse transactionnelle, aurait, peut-être, été le premier à pratiquer cela. Il s’en explique dans l’un de ses nombreux ouvrages. Dissident de la psychanalyse (freudienne ?), il décida d’abandonner le vocabulaire freudien pour les mots de la vie quotidienne. Des mots plus simples. De façon à ce que ses patients soient à même de mieux comprendre, pour mieux changer. Et pour distinguer le nom commun du même mot employé dans un sens thérapeutique, légèrement différent, il décida de mettre une initiale en majuscule à chacun de ces mots-là.

Exemples : P pour Parent, A pour Adulte, E pour Enfant, J pour Jeu, S pour Sauveteur (ou Sauveur selon les traductions), V pour Victime, P pour Persécuteur… Autant de termes que nous verrons très bientôt…

C’est probablement pour la même raison qu’on observe cela en PNL2.. Avec un mot comme « Switch », qui est un protocole précis, et non le mot Anglais, ou bien « Dissociation simple », etc. Parfois aussi les majuscules sont utilisée pour un acronyme comme VAKO(G). Et pour tous les mots qui en découlent : V signifiant Visuel, A pour Auditif, K pour Kinesthésique, O pour Olfactif, & G pour Gustatif…

Ri©h@®∂  (:-{D}

Texte version 1.4. Merci à François Serent pour ses conseils & ses corrections grammaticales…


Notes

  1. PCM pour « Process Communication Management ».
  2. PNL pour « Programmation Neuro-Linguistique ».

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Bonjour & bienvenue sur ce blog…

Bonjour & bienvenue sur ce blog…

Je vous souhaite la bienvenue dans ce blog… Qui est mon premier blogue. …Et mon premier article ! Ce ne sera pas, j’espère, le dernier article. Ni, peut-être, le seul blogue ! J’en parlerai très bientôt…

 

Le but de ce blog : la «  transe-mission  »

Je souhaite, à travers ce blogue, partager mon amour de la vie & de la… Ou plutôt des psychologies. Qu’il s’agisse de psychanalyse jungienne, d’analyse transactionnelle, de PNL¹, de PCM², d’hypnose ericksonienne, et j’en passe… Afin que chacun puisse, s’il le souhaite, être mieux, & vivre dans un mieux-être, avec lui-même & avec les autres, ici & maintenant… Je souhaite partager & transmettre, comme l’on fait les nombreuses personnes que j’ai eu la chance de connaître, ou de lire. Qu’ils en soient ici remerciés.

 

Les quatre «  C  » & les psychologies

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Les quatre “C”, conception & création de Richard Martens

Pourquoi les psychologies ? Je pourrais résumer cela – & mon approche – avec ce que j’appelle les quatre « C » : Connaître ,  Comprendre ,  Communiquer &  Changer .

Et les psychologies – certaines plus que d’autres – permettent de pratiquer ces quatre « C ». Ils correspondent, d’une certaine manière aux quatre étapes de l’apprentissage, qui sont :

La découverte

Connaître & apprendre des outils de communication & de changement. Car nous pouvons ignorer que des chercheurs créent régulièrement des outils, des moyens de communication & de changements. C’est le but des psychologies. C’est aussi, pour certains, la découverte de l’existence de ces outils.

L’apprentissage

Comprendre, apprendre & décoder les comportements des êtres humains : les nôtres & ceux des autres.Car comprendre & apprendre permettent de décoder des rapports humains désagréables, difficiles, voire douloureux… 

La maîtrise

Communiquer avec soi & avec les autres. Car décoder les rapports humains, c’est aussi bien apprendre à comprendre les autres qu’à se comprendre & à comprendre nos désirs & nos peurs. Et donc à mieux communiquer afin d’établir de meilleurs rapports avec autrui.

L’excellence

Changer dans ses comportements & dans sa vie… Tout simplement pour être mieux avec soi & avec les autres.

 

Comment partager ce savoir ? Par le texte… Et par l’image !

Pourquoi des images, me direz-vous ? Parce que plus de 50 % de la population est visuelle. Et comme l’a dit Napoléon, parfois… « un bon croquis vaut mieux qu’un long discours. »

 

Psychologie, dessin, graphisme, schémas…

Comme j’ai aussi une longue formation & pratique du dessin, de la peinture & du graphisme, je montrerai ma vision de ces courant sous la forme de diagrammes, cartes, camemberts, & autres schémas ! Je pense que c’est une pratique peu courante. Et même assez rare pour être soulignée. D’ailleurs, les diverses réactions positives que j’ai pu observer & entendre quand j’ai montré des brouillons de schémas, ou des schémas finalisés, pendant mes formations à mes condisciples, et plus tard, à diverses personnes, m’ont donné à penser que c’était un « plus » dans la transmission et le partage du savoir.

 

« Rendons à César ce qui est à César »

Enfin, quand je connais la ou les origines, il va de soi que je donnerai les noms & la source. Ceci, chaque fois que je le saurais. Sinon, si j’ignore ou si je commets des erreurs ou des oublis, je serais ravi de pouvoir rectifier grâce à vous. Et je vous ferai aussi part de mes réflexions personnelles (si, si ! J’en ai !) Enfin, petit à petit, je classerai ces articles selon ces courants, voire les objectifs, ou les thèmes. Donc en complétant les menus déroulants…

 

 

Esperluette : caractère typographique

L’esperluète ou “et commercial”

D’autres centres d’intérêts

Vous aurez peut-être noté que j’aime les points de suspension… & les esperluettes (ou esperluètes, voir ci-contre), communément appelées « et commercial » ! Et la typographie… Et la langue Française… Et… Et j’arrête là, car je suis parfois bavard ! Ceux qui me connaissent le savent…

Ri©h@rd M@r†€ns          (;-{D}

Version 1. 3 de ce texte. Merci à François Serent pour ses corrections concernant mes « étourderies », à propos, entre autres, de confusions entre le futur simple de l’indicatif & le présent du conditionnel… Encore merci. Et : non, je ne t’en veux pas, bien au contraire… Je t’en suis reconnaissant ! Merci à toutes celles & à tous ceux qui me signaleront – gentiment – une erreur, sous quelque forme que ce soit.


¹ PNL : Programmation Neuro-Linguistique.
² PCM : Process Communication Management.
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